Semaine à 1000 – mini chroniques

Eh oui, la Semaine à 1000 du Pingouin vient de se terminer, et puisque j’ai lu plusieurs petits livres fort sympathiques, j’ai décidé de regrouper mes chroniques pour te donner un aperçu général. Mais tout d’abord, un mot sur le concept : je l’évoque de temps en temps mais je n’y ai jamais consacré d’article, la Semaine à 1000 c’est une semaine par mois durant laquelle on est censés lire 1000 pages. Tous les soirs, on se donne un compte-rendu sur facebook et on s’encourage, l’ambiance est très chouette ! Je participe depuis sa première édition en janvier, et on a prévu de faire ça toute l’année, donc ce n’est pas trop tard pour rejoindre l’aventure si le coeur t’en dit !

J’ai participé une fois au fameux Week-end à 1000, et si j’ai réussi mon challenge, j’ai trouvé que je bâclais mes lectures. Le truc, c’est que je suis parfaitement capable de lire vite, alors si j’ai un challenge de type « grande quantité en peu de temps », je vais m’emballer et je profite moins de mes lectures parce que je n’ai pas le temps d’y rester un peu et de m’en imprégner. Du coup, ça ne me procure pas tant de plaisir que ça, au final. Le format de 1000 pages en une semaine me convient mieux, parce que je sais que j’en suis largement capable avec mon rythme de lecture et que je n’ai pas non plus besoin de me mettre la pression tous les soirs, c’est surtout un moyen de m’encourager à sortir mon livre plutôt que de glander sur internet, et une chouette plateforme pour discuter lecture avec d’autres gens fort sympathiques. Je me suis déjà dit que dans l’idéal, il me faudrait un challenge du genre « lire 2 heures par jour », sans pression sur la quantité, mais je ne suis pas trop sûre de comment tourner la chose et ça paraît assez contraignant de noter les minutes chaque fois qu’on sort son bouquin dans le métro. Je laisse mûrir l’idée, je te ferai signe si ça donne quelque chose, en attendant cette Semaine à 1000 m’apporte beaucoup de plaisir !

Bref, le cadre est posé. Je ne pense pas faire un bilan chaque mois (je ne l’ai d’ailleurs pas fait pour janvier et février) mais puisque j’ai lu plusieurs petits livres, j’ai envie de te les présenter et un article entier pour chacun ferait peut-être un peu trop (enfin, je t’explique tout ça mais tu connais le principe des mini-chroniques, faut que je termine cette introduction beaucoup trop longue). Euh, sans transition, mes lectures ! (Et hop, emballez, c’est pesé).

J’ai démarré ma semaine avec la seconde moitié des Pickwick Papers, qui valaient bien la peine que j’y consacre une chronique entière vu la taille de la bête. Ensuite, j’ai lu dans l’ordre :

Misery – Stephen King (1987)

Je me réjouissais de rtéléchargement.jpgetrouver Stephen King depuis Under the dome, et sur les conseils de WonderLust j’ai acheté plusieurs romans du monsieur et Misery est le premier que j’ai attaqué. Eh bien, je suis ravie de cette lecture ! Elle raconte l’histoire d’un écrivain qui se retrouve séquestré par sa « fan numéro 1 », une femme complètement névrosée qui exige un nouveau roman qui ferait revivre le personnage principal (Misery). Je n’ai pas envie de dévoiler trop d’éléments de l’histoire, parce que c’est un huis-clos basé sur le suspense, mais j’ai adoré l’atmosphère et l’écriture de ce cher Stevie. Il a un talent fou pour faire vivre ses personnages, et Misery contient de vrais exercices de style, des jeux de langage, des passages qui nous semblent réels avant qu’on comprenne que c’est l’esprit de l’écrivain qui s’égare, bref il ne se contente pas de raconter, il joue avec la forme et le fond et j’adore ça. Je suis assez persuadée que j’aurais été encore plus à fond si je l’avais lu en français, parce qu’il a un sacré vocabulaire et que, mine de rien, l’anglais n’est pas ma langue maternelle, mais je suis du genre têtue et quand j’ai l’occasion de parfaire mon anglais avec une plume pareille, je ne peux pas la laisser passer. Mon seul regret, c’est que par rapport au pavé qu’était Dôme (ce qui permettait une immersion incroyable) j’ai trouvé celui-ci presque trop court. Mais en réalité, c’est un vrai compliment, j’aurais juste volontiers dévoré 200 pages de plus (pareil pour Dôme d’ailleurs, quand j’ai lu qu’il l’avait raccourci un peu j’étais vraiment triste. Mais si je reste objective, probablement que 800 pages, c’était suffisant et il a bien fait de ne pas m’écouter. J’ai déjà dit que j’aimais les pavés ?). Sinon, tu veux une anecdote nulle ? Il y a un village en Suisse qui s’appelle Misery (à prononcer « mizry »). Je n’avais jamais fait le lien, mais chaque fois que je fais une recherche google je tombe d’abord sur le site de l’office du tourisme, et du coup maintenant ça me fait rire.

Et c’est pas parce que je fais des mini-chroniques que je vais te rouler avec les musiques, tu en auras autant que d’habitude ! Pour Misery, j’ai rapidement pensé à « Run, Boy, Run » de Woodkid, parce que j’aime beaucoup ce groupe et c’est ce que je voulais crier régulièrement au personnage principal (ce qui est plutôt ironique. Je me tais !), et l’atmosphère inquiétante est franchement appropriée (savoure le clip ! Le chanteur n’est pas cinéaste pour rien).

Contes du jour et de la nuit – Guy de Maupassant (1885)

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Il me fallait une lecture plus calme pour enchaîner. J’ai reçu ce recueil de nouvelles il y a déjà quelques temps, et il m’a permis de me libérer la tête après l’intensité de Misery. Je ne raffole pas des recueils en général, j’ai de la peine à passer d’une histoire à l’autre et en même temps, comme je n’aime pas avoir plusieurs lectures en parallèle, je ne peux pas m’empêcher de les lire d’une traite. Mais je dois dire que celui-ci était plutôt rafraîchissant, Maupassant est vraiment doué pour poser le décor en quelques phrases et j’ai passé un très bon moment. Il faut quand même préciser qu’il a écrit des dizaines de nouvelles dans sa vie, il a un peu d’expérience dans le domaine. Et en même temps, ça me permettait de lire un classique, et si je reste d’abord amoureuse des classiques anglais ça ne me fait pas de mal de profiter des belles lettres francophones de temps en temps.

 Niveau musique, il semblerait que Maupassant s’entendait bien avec Jules Massenet, et qu’il s’en serait inspiré pour créer le personnage de Massival dans Notre coeur. Alors je te propose la très belle « Méditation » de l’opéra Thaïs, un peu de violon pour accompagner ta lecture en douceur.

L’herbe bleue – Beatrice Sparks (1971)

J’ai acheté ce livre après une discussion avec les demoiselles de Plumes de lune sur le roman JunkTous deux parlent de la drogue chez les jeunes, et41iqmri2b3xl-_sx306_bo1204203200_ comme j’avais vraiment aimé Junk, j’étais curieuse de découvrir celui-ci. Il se présente comme le journal intime d’une jeune fille de quinze ans, qui prend pour la première fois de la drogue sans le savoir lors d’une soirée, et qui tombe petit à petit dans la dépendance. J’ai globalement beaucoup aimé cette lecture, bien qu’elle soit beaucoup plus brève que Junk (qui se déroule sur plusieurs années) et qu’elle aborde donc moins de thèmes. Mais en faisant ma petite enquête, je dois dire que l’histoire autour de ce livre me chiffonne. Il a d’abord été présenté comme un vrai journal intime, publié anonymement, et étant donné la période à laquelle il est sorti (en plein boum hippie et compagnie, au moment où on commençait un peu à se poser la question sur les effets de la drogue), il a fait un carton. D’ailleurs, plusieurs éditions ont été jusqu’à écrire « A real story » sur la couverture. Sauf que, quelques années plus tard, on a commencé à attribuer ce livre à une thérapeute, Beatrice Sparks. Elle a d’abord proclamé qu’elle voulait sensibiliser les gens aux dangers de la drogue, puis elle a dit plus tard qu’elle s’était inspirée d’un vrai journal qu’une jeune lui avait donné, et qu’elle avait changé certains passages. Apparemment, on n’a jamais eu de preuve que ce journal avait existé, et aujourd’hui de plus en plus de gens pensent qu’il s’agit simplement d’une oeuvre de fiction. Et ça m’embête pas mal, parce que j’aime pas qu’on essaie de m’arnaquer. J’ai vraiment lu ce livre en ayant en tête que c’était une histoire vraie, et si certains passages me paraissaient douteux dans leur vraisemblance, je me disais qu’après tout je n’y connais pas grand chose et que puisque c’est un récit véridique, ça doit fonctionner comme ça. Sauf que maintenant, il y a ce doute sur la provenance, et j’ai de la peine à regarder ce livre avec autant de respect qu’avant, alors ça me contrarie. Après, d’autres disent que Beatrice a volontairement revendiqué l’écriture de ce bouquin au moment où elle avait besoin d’un coup de pub pour ses autres romans. En tous les cas, ça sent pas trop bon cette affaire, mais ça reste une lecture qui m’a accrochée donc si j’oublie ses origines douteuses je te le recommande.

Le titre anglais, Go Ask Alice, fait référence à la chanson « White Rabbit » de Jefferson Airplane. C’était quand même un peu trop facile de te la donner telle quelle, alors j’ai fouillé un peu plus et je suis tombée sur une reprise d’Emiliana Torrini, pour le film Sucker Punch. Alors : j’écoute très peu de reprises en général, j’aime rendre à César ce qui est à César, et je n’ai jamais eu envie de voir ce film (parce que blondes platine en cuir moulant) (mais il paraît que c’est quand même vachement bien, alors on verra, peut-être un jour) mais il donne beaucoup d’importance à la musique, et ça c’est un point pour lui. Même si je grince des dents quand j’entends la reprise de « Where is my mind? » des Pixies parce que l’originale est dinguissime (surtout depuis que j’ai vu Fight Club, mais on en reparlera un jour) et que du coup on n’y touche pas merci, je n’ai pas le même lien émotionnel avec « White Rabbit » et je dois dire que j’aime assez cette nouvelle interprétation (et puis Emiliana Torrini a bossé avec Sting, je suis obligée de la respecter pour ça).

L’étrange Bibliothèque – Haruki Murakami (2015)

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Avant tout je fais une grosse bise à Eric qui a parlé très chaleureusement de ce petit livre et qui m’a donné furieusement envie de l’acheter. J’ai moi-même déjà fait l’éloge de Murakami (en lui consacrant ma toute première chronique, c’est pas rien !) parce que j’adore son univers, sa plume et l’état d’esprit dans lequel il me plonge immanquablement. C’est la première fois que je le lis dans un format court et j’étais curieuse de voir comment il s’en sortirait (même si je n’avais pas franchement peur pour lui). Et sans grande surprise, il me vend du rêve une fois de plus. Je ne parlerai pas vraiment de l’histoire parce que ça tient sur 70 pages donc tout ce que je pourrai en dire sera du spoil. Sache juste que c’est une ambiance fantastique et inquiétante, et qu’il a travaillé avec une illustratrice allemande, Kat Menschik, qui a fait un travail magnifique. Chaque dessin révèle une deuxième illustration en surbrillance, l’ambiance colle parfaitement au style de Murakami et on est tout de suite embarqués avec eux. Après, certains trouvent des interprétations et des messages sur le contrôle de soi et l’accomplissement personnel, et c’est fort probable que Murakami y pensait en écrivant ce texte. Moi, j’avoue avoir une lecture assez premier degré en général (ça m’a déjà posé problème pour L’attrape-coeurs) alors je n’ai pas cherché de sens caché, mais j’ai adoré l’histoire en soi donc dans tous les cas, très bon bilan et si tu as l’âme d’un philosophe tu l’aimeras probablement encore plus que moi.

Si je pense à une musique un peu inquiétante et onirique, j’ai tout de suite envie d’écouter Other Lives, alors je suis très contente de pouvoir enfin t’en passer un morceau. C’est pile ce que j’aime et ils mettent énormément de soin dans la composition, avec tout un tas d’instruments, j’espère que ça te plaira. J’ai deux albums (Rituals et Tamer Animals) et chacun des morceaux est un pur bijou, donc j’ai eu beaucoup de peine à choisir, j’ai finalement réduit ma liste à quatre morceaux, et quand j’ai opté pour « New Fog » (le seul qui a des consonances un peu asiatiques), je l’ai trouvé nulle part sur youtube (frustratioooon, j’adore perdre du temps), alors j’ai de nouveau hésité un moment et finalement je te propose « No trouble », pour l’atmosphère onirique (j’ai failli choisir « Easy Way Out » dont le titre faisait écho à l’histoire et qui est très chouette aussi, si tu as envie de faire le curieux).

Et puis, pour terminer ma semaine, j’ai commencé Un coeur sombre de R.J. Ellory, et comme j’ai adoré Seul le silence je pense que ça va beaucoup me plaire aussi, je t’en parlerai bientôt. Le tout pour un total de 1560 pages, le challenge est donc réussi et je suis ravie de ma sélection de lecture.

Bon, vu la longueur de cet article, je me dis que j’aurais quasiment pu faire des chroniques séparées finalement, mais j’ai pas le courage de tout changer maintenant. Alors j’espère que tu n’as pas fait une overdose de blabla et je te souhaite une magnifique journée.

21 commentaires sur “Semaine à 1000 – mini chroniques

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  1. Coucou ma grande ! C’est Eric ! Je suis ravi de savoir que tu as apprécié l’Étrange Bibliothèque de ce formidable auteur qu’est Murakami ! Son style fonctionne à merveille avec les formats courts et les illustrations renforcent l’atmosphère mystérieuse et ambivalente de l’oeuvre. Je ne connaissais pas Other Lives. À ton tour tu m’as fait découvrir quelque chose (quoi que c’est loin d’être la première fois…) Gros bisou 😉

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    1. Encore merci pour ces chaudes recommandations, je suis ravie de les avoir suivies 🙂 complètement d’accord avec toi ! Il a une force dans l’écriture, qui s’installe immédiatement. Oh ben je suis très contente de te faire découvrir Other Lives, j’espère que ce sera une belle histoire d’amour 😉 des bises ! 🙂

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  2. Ce fut une sacrée semaine!! Que de lectures!

    J’ai un vague souvenir de L’herbe bleue que j’ai lu ado.

    Comme toi, j’ai souvent une lecture premier degré bien que quelques fois, il y a des choses qui me sautent aux yeus.

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    1. Oui, je suis très contente de mon tirage au sort, j’ai eu un livre de chaque style c’était parfait 🙂
      Ça me rassure de ne pas être la seule, j’ai plus l’habitude de parler avec des gens qui spéculent pendant des heures et je me sens un peu tarte des fois 😉

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  3. Super sélection! De stephen King, dans le genre huis clos psychologique écrit d’une main de maître, je te conseille vivement « Jessie ». Ce bouquin, mais ce bouquin! J’ai retenu ma respiration de bout en bout. C’est le livre qui m’a fait aimer les thrillers psychologiques! J’avais lu Herbe Bleue quand j’étais petite, sans doute trop. Il m’avait pas mal traumatisée. Je n’ai jamais essayé de le relire depuis que je suis adulte. Et sinon je n’ai jamais lu Murakami mais j’aimerais beaucoup tenter! Tu me conseillerais de commencer par quoi?

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    1. Oh merci ! 🙂 ah je m’empêche de noter ça alors, je commence à décidément beaucoup aimer Stephen King et il a une production tellement énorme que je ne sais pas par quel bout la prendre 😉
      Murakami, c’est une atmosphère vraiment bizarre mais personnellement ça me transporte. On sent que ça n’a rien à voir avec notre littérature occidentale habituelle, du coup j’imagine que ça passe ou ça casse ! Si tu veux découvrir son atmosphère onirique et mi-fantastique, je te conseille vivement « Kafka sur le rivage ». Si tu préfères commencer par du plus réaliste, j’ai beaucoup aimé « l’incolore Tsukuru » (j’en ai fait une chronique d’ailleurs, si tu veux te faire une idée 🙂 ), qui parait-il est dans le même genre que « la ballade de l’impossible » (que je n’ai pas encore lu, mais il a d’excellentes critiques).
      Personnellement j’ai commencé par 1Q84, mais c’est une trilogie et un sacré morceau, alors peut-être que comme première lecture ça peut rebuter 🙂 en tout cas j’espère que tu me donneras des nouvelles !

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  4. Misery me fait très envie ( ps : j’adore ton anecdote sur le site de l’office de tourisme, je suis sure que des gens sont allés là bas par curiosité suite à une recherche sur le livre ^^ )
    Je suis du même avis que toi sur L’herbe bleue, j’ai moins de respect vis à vis de cette histoire.
    Sucker Punch je l’ai vus il y a des années et si c’est un film sympa il ne reste pas en mémoire longtemps.
    J’ai toujours voulu tenter Murakami, même si j’ai un peu peur de ne pas rentrer dans l’univers.

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    1. Haha si certains sont allés là-bas en pèlerinage de Stephen King ils ont dû être déçus 😛
      Si les thèmes de l’herbe bleue t’ont plu, est-ce que tu as lu Junk ? 🙂
      Et je comprends pour Murakami ! C’est vraiment à part, mais personnellement ça me transporte et il y a une pudeur dans les émotions qui me calme profondément 🙂 ça vaut le coup de tester je pense !

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  5. Je préfère le concept de semaine à 1000, on se fout un petit peu moins la pression. (et puis je travaille le samedi en ce moment, alors le weekend à 1000…)
    Je suis très contente que L’étrange bibliothèque t’ait plu ! J’ai adoré cette nouvelle et contrairement à toi, je n’ai lu que des nouvelles de Murakami, il va falloir que je m’attaque aux romans. 😉 Les attaques de la boulangerie est pas mal aussi, mais un niveau au-dessous. Je ne sais pas si tu tenteras Sommeil aussi, je te le conseille vivement.
    Je n’ai pas encore lu de Stephen King, j’ai Carrie de côté, j’espère que je vais aimer autant que tu as aimé Misery. (du coup, je note ce titre pour plus tard)
    En tout cas, tu as eu de bonnes lectures, ça donne envie d’avoir une semaine de lectures aussi bonnes ! 🙂

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    1. Oui, c’est plus détendu !
      Alors il faut absolument que tu lises ses romans et que tu viennes m’en parler 😉 Et je vais tenter les nouvelles dans ce cas, je note les titres !
      J’ai lu seulement Dôme et Misery, pour l’instant j’ai quand même une petite préférence pour Dôme mais c’est un sacré pavé, à toi de voir 🙂
      Eh bien je te souhaite une magnifique semaine de lecture 🙂

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  6. J’ai trop envie de lire du Maupassant ! (est-ce-que j’ai pas dis pas ça pour cent quinze auteurs déjà ? –-‘)
    Aaaaaah mais comment ça casse tout le mythe pour l’herbe bleue ! Je pensais que c’était tout à fait véridique moi ! Du coup, comme toi, je déchante un peu là è
    é
    Moi j’ai bien aimé Sucker Punch, et pour le coup, l’ambiance du film va bien avec l’ambiance du livre (je pense que le scénariste avait pris de la drogue avant de l’écrire mdr)
    J’aime bien ce format de chronique !
    Bises
    Kin

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    1. Haha ! Ca m’a bien donné envie de lire un roman de Maupassant aussi, j’ai juste lu Boule de Suif en cours (mais bon, en cours tout est moins bien par définition, malheureusement).
      Désolée de tout casser 😛 Elle me plaît pas trop cette Beatrice à priori, j’apprécie pas ce genre de magouilles haha tu l’avais lu en classe non ? Et ils avaient rien dit?
      Je regarderai alors ! 😉 Les musiques sont chouettes, c’est déjà un bon point !
      Des bisous !

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      1. Nan je l’avais lu de moi-même, je l’avais emprunté au CDI je me souviens. Après c’était il y a plus de dix ans puisque j’étais au collège donc je sais pas si il y avait déjà la polémique ^^
        Ouaip, la bande son est super ! Par contre, vu que tout est fait en 3D, il a peut être déjà un peu vieilli ^^

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  7. Semaine à 1000… félicitations je ne crois pas en être capable. De plus je n’ai jamais réussi à lire une Stephen King parce que le premier livre que j’ai tenté (cujo) m’a fait beaucoup trop peur haha depuis je suis restée bloquée!

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    1. Hahaha je peux comprendre ! Pour l’instant j’ai lu Dôme qui ne fait pas peur du tout, et Misery qui est plus angoissant qu’effrayant du coup je redoute la suite, je ne sais pas à quoi m’attendre 😉

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